michelesilenzio
2006-07-10 19:59:12 UTC
Ce dernier l'autorisa à se cacher dans une sorte de puits. Sa femme (Te Rangikoaea) se posta devant cette cachette, en raison de son "pouvoir" neutralisant vis-à-vis des hommes qui poursuivaient Te Rauparaha et du "pouvoir" protecteur accordé aux organes génitaux féminins par les Maoris (à ce moment Te Rauparaha se trouve sous la femme de son ami).Alors qu'ils approchaient de la cachette, Te Rauparaha aurait murmuré je meurs, je meurs. Te Rangikoaea affirma aux poursuivants que Te Rauparaha était parti. Ce dernier murmura alors je vis, je vis.Les guerriers se laissèrent convaincre et partirent. D'où les dernières strophes, qui remercient l'homme chevelu, Te Wharerangi et décrivent sa sortie du puits et le fait qu'il voit à nouveau la lumière.En définitive, c'est un chant dont les paroles sont toutsauf violentes, comparées à d'autres hakas[...]qui sont beaucoup plus sanglants